EHS le Conseil d’État du canton de Vaud désinforme partie 2 - Pierre Dubochet

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Intolérance aux rayonnements: le Conseil d’État du canton de Vaud use de façon répétée de données scientifiquement inexactes (2e partie)

La désinformation faite par le Conseil d’État du canton de Vaud le 27 novembre 2024 va induire des personnes affectées par une symptomatologie pour laquelle la cause de surexposition aux rayonnements est possible, au moins comme cofacteur, à ne pas entreprendre les actes nécessaires à une réduction de leur dose reçue en évitant toute exposition évitable. Or, le contexte laisse apparaître qu’une telle mesure devient pressante.
Illustration ci-dessus: ma photographie d'une pièce d'un appartement protégé des rayonnements.
© Pierre Dubochet, ing. radio
toxicologie des RNI
conflit d'intérêts : aucun avec cet article
28 janvier 2025

Un «suivi médical adapté»? Quel suivi médical?
Lecture : 16 min | 4840 mots (deuxième partie, aller à la première partie)
Examinons les approches alternatives du Conseil d’État du canton de Vaud. «La sensibilisation de la population et des professionnels de la santé à cette problématique». L’opération de désinformation via sa séance du 27 novembre 2024 suffit à prouver l’absence d’intention du gouvernement du canton de Vaud de sensibiliser la population et les professionnels de la santé avec des faits.
Autre approche alternative proposée par le Conseil d’État: «un suivi médical adapté».
Parmi les conséquences les plus plausibles de l’exposition, l’augmentation des molécules allergènes, d’oligomères toxiques, ces molécules pathogènes dissoutes dans certains fluides corporels dont l’accumulation autour des neurones perturbe à la longue la transmission nerveuse, sans compter l’excès de dérivés réactifs de l’oxygène nuisibles aux fonctions de notre système nerveux central.
Notre savoir est cependant bien trop fragmentaire pour agir. La médecine ne dispose ni de moyen efficace pour enrayer la production de ces molécules nuisibles ni de moyen favorisant leur élimination. Dans le cas contraire, il semble raisonnable d’affirmer que la médecine ferait reculer les cas de la maladie d’Alzheimer, en tout cas aux premiers stades.
Force est de conclure que la portée des actes actuels du médecin est plus limitée que celle obtenue par la soustraction à l’agent déclencheur, suffisante à recouvrer une normalisation des fonctions et à limiter les handicaps d’une tolérance très réduite aux ondes, tant qu’il n’y a pas atteinte organique. Les recommandations de traitement par médicaments étant préjudiciables et la psychothérapie pas significativement utile,[26] le «suivi médical adapté» auquel renvoie le Conseil d’État n’est guère suffisant.
Dans un siècle, il se pourrait que nous maîtrisions le sujet
Dernière approche alternative proposée par le Conseil d’État du canton de Vaud: «la poursuite des efforts dans la recherche scientifique».
Un corps humain est un incommensurable réseau enchevêtrant à tout instant des causes et des effets dans des milliards et des milliards de nœuds de multicolinéarité et d’endogénéité en fonction de causes endogènes et exogènes. Leur intrication dans le cerveau est d’une complexité telle que presque toutes nos conclusions causales tirées de corrélations sont susceptibles d’être non prouvées. Voire fausses. D’innombrables preuves convergent pour démontrer l’absence d’une réponse biologique cohérente en présence de rayonnements, c’est-à-dire l’absence d’un fonctionnement organique, tissulaire, cellulaire apparaissant comme logique à nos capacités cognitives circonscrites.
Sauf à supputer que notre cerveau pourrait se comprendre lui-même —une hypothèse difficile à admettre en science—, il convient de considérer l’hypothèse selon laquelle la recherche ne délivrera pas de notre vivant les réponses qu’attend le Conseil d’État pour se saisir enfin du problème.
Tandis qu’en ce moment même la personnalité de certains est atteinte et qu’existent des solutions efficaces pouvant être mises en œuvre, l’affirmation que d’aucuns poursuivraient les efforts de recherche scientifique n’est d’aucun secours au Conseil d’État.

S’agissant de l’usage des trois poncifs trompeurs les plus éculés servant à se dérober à ses obligations, le troisième étant «la recherche doit continuer», notons un troisième «oui», le Conseil d’État du canton de Vaud s’en est servi pour se dérober à ses obligations.

La médecine ne dispose ni de moyen efficace pour enrayer la production de ces molécules nuisibles ni de moyen favorisant leur élimination. Force est de conclure que la portée des actes actuels du médecin est plus limitée que celle obtenue par la soustraction à l’agent déclencheur, suffisante à recouvrer une normalisation des fonctions et à limiter les handicaps d’une tolérance très réduite aux ondes, tant qu’il n’y a pas atteinte organique.

La santé des Suisses se dégrade: quelle part de causalité des ondes?
La désinformation faite par le Conseil d’État du canton de Vaud le 27 novembre 2024 va induire des personnes affectées par une symptomatologie pour laquelle la cause de surexposition aux rayonnements est possible, au moins comme cofacteur, à ne pas entreprendre les actes nécessaires à une réduction de leur dose reçue en évitant toute exposition évitable. Or, le contexte laisse apparaître qu’une telle mesure devient pressante.
«Ces dernières années, l’état de santé général s’est stabilisé à un niveau nettement inférieur à celui d’avant la pandémie», s’inquiète Philomena Colatrella, CEO de l’assureur maladie CSS en lisant l’étude de 2024 effectuée par Sotomo[27] pour l’assureur. Le 35% des personnes interrogées pour l’étude ne se sent pas en parfaite santé ou se sent malade. «La part élevée de personnes qui souffrent d’épuisement et de fatigue (68%) retient tout particulièrement l’attention», lit-on dans la publication.
On remarque que la fatigue chronique peut être induite par une surexposition aux ondes dès la fin des années 1970.[28][29]
Contrairement à la supposition faite dans l’éditorial de la CSS, ni la pression professionnelle ni la performance ne sont à l’origine de l’épuisement des jeunes. L'origine est à chercher dans de conséquents dérèglements métaboliques. Car l’étude Sotomo précise: «L’épuisement reste plutôt la principale caractéristique commune des personnes indiquant avoir des problèmes de santé» et «Il est particulièrement notable que le groupe d’âge plus jeune des 18 à 35 ans considère les journées de forte chaleur comme un danger à une fréquence supérieure à la moyenne», vu que «Ce sont plutôt les personnes ayant des problèmes de santé préexistants qui sont davantage prédisposées au stress thermique».
Diverses études signalent des troubles neurologiques à l’usage du téléphone mobile. Actuellement, 38% des femmes et 31% des hommes âgés de moins de 36 ans affirment que leur état psychique est moyen ou mauvais, à l’inverse 88% des femmes et 80% des hommes âgés de plus de 65 ans se sentent bien la plupart du temps ou en permanence. Les abonnés de 0 à 30 ans consomment en moyenne à peu près quatre fois plus de volume de données que les abonnés de plus de 60 ans.[30] Il y a corrélation entre perception négative de l’état de santé et consommation de données mobiles. Les personnes souffrant de problèmes de santé préexistants sont les plus gros consommateurs de données mobiles. Une telle concordance d’indices fait peu tenable l’exclusion de l’usage des technologies sans fil du déclin de santé observé par Sotomo.
La population demande la promotion de mesures de santé pour les jeunes
Le 44% des sondés estime que davantage de mesures de promotion en matière de santé sont nécessaires; 62% constatent un déficit en ce qui concerne la demande de mettre en place plus de mesures pour la tranche d’âge de 18 à 35 ans.
Que fait le Conseil d’État du canton de Vaud appelé à se saisir d’un problème sérieux qui désavantage des sujets atteints d’une manière concrète, appelé à se prononcer sur le besoin de lieux publics de récupération? Il désinforme de manière à se sentir légitimé à déclarer qu’une intervention de la part du canton n’est pas justifiée.
Le handicap d’une faible tolérance aux rayonnements non ionisants n’est pas inhérent à la personne. Au sens de la Convention des Nations Unies relative aux droits des personnes handicapées, les personnes handicapées incluent celles qui présentent des déficiences physiques, mentales, intellectuelles ou sensorielles à long terme qui, lorsqu’elles interagissent ou voudraient interagir, limitent ou empêchent leur participation à la société sur un pied d’égalité avec les autres.[31] Leur perte de fonctionnalités corporelles due à l’exposition chronique au rayonnement non ionisant artificiel provoque des symptômes pesants dont le développement imprévisible et instable crée au quotidien des contraintes qui surmènent de façon claire l’individu dans sa capacité d’adaptation. Pire encore, à long terme l’exposition chronique favorise le développement de maladies chroniques, en puissance la maladie d’Alzheimer.[32]
Pour certains salariés, les conséquences entraînées par l’exposition ont eu raison de leur contrat de travail, ont sonné l’arrêt de leur vie professionnelle. D’aucuns évoquent parfois, en sus d’une violence physique, une violence sans nuance de l’employeur, du personnel des ressources humaines, de la médecine du travail aux propos infantilisants, hostiles. Voire limite agressifs.
Les indépendants ne sont guère mieux lotis. Le parcours professionnel de certains d’entre eux a subi un tournant radical. Ajouté parfois aux énormes soucis de santé, revendre une affaire qui marche bien «est quelque chose qu’on prend en pleine face».[33]

Deux tiers des personnes interrogées souffrent d’épuisement et de fatigue. Le 44% des sondés estime que davantage de mesures de promotion en matière de santé sont nécessaires; 62% constatent un déficit en ce qui concerne la demande de mettre en place plus de mesures pour la tranche d’âge de 18 à 35 ans. Que fait le gouvernement du canton de Vaud? Il désinforme de manière à se sentir légitimé à déclarer qu’une intervention de la part du canton n’est pas justifiée.

Le Conseil d’État du canton de Vaud complètement inactif malgré une situation discriminante
Le Conseil d’État gouverne un canton. Il exerce donc une influence prépondérante dans ce concept de nuisance. Il peut changer le cours des choses.
En 1974, l’OMS signale que l’exposition au rayonnement non ionisant est propre à provoquer «des symptômes caractéristiques complexes. C’est une forme distincte de maladie professionnelle».[4] En 1981, l’OMS ajoute qu’elle incorpore céphalées, fatigue, vertiges, asthénie, troubles du sommeil, confusion, le tout conduisant à un «sentiment général de mauvaise santé mal défini».[5]
S’agissant des personnes qui présentent des symptômes durables qu’elles relient aux rayonnements, l’OMS a recommandé en 2005 «d’aider au développement de stratégies permettant de faire face à la situation» avec un hygiéniste pour identifier «les facteurs témoins présents dans l’environnement dont on sait qu’ils ont des effets sanitaires préjudiciables pouvant toucher le patient».[3]
La santé des Suisses se dégrade. Il existe des indices tendant à démontrer la causalité de l’électrosmog, au moins comme cofacteur. L’INRS a relevé que le degré individuel de tolérance aux rayonnements est très variable: «soumises à une même exposition, certaines personnes peuvent présenter des troubles cliniques, d’autres non».[34]
Dans son interpellation 24_INT_129, Sabine Glauser Krug écrit notamment «Les plus sensibles renoncent à toute vie sociale, passent leur temps à rechercher un logement compatible avec leur état de santé, [...] renoncent à toute visite médicale, même en cas d’accident» et «leur état réduit leurs possibilités d’exercer une activité lucrative».
Appelé à agir en toute connaissance de cause et en toute responsabilité morale et politique, le Conseil d’État du canton de Vaud, par sa Présidente Madame Christelle Luisier Brodard et par son Chancelier Monsieur Michel Staffoni, adopte une position profondément ambiguë. Voudrait faire croire au suivi médical qui, sur ce thème, nous embarbouille depuis près d’un siècle. Se sert de prétextes scientifiquement inexacts à de réitérées reprises à dessein de rassurer l’opinion et d’acclimater la nuisance. Cherche malhabilement à gagner du temps en propageant le doute et la désinformation sur la thématique de l’intolérance aux rayonnements.
En d’autres termes, le gouvernement du canton de Vaud œuvre pour réduire sa visibilité publique en débitant des menteries.
Le fait est que, le 27 novembre 2024, le Conseil d’État du canton de Vaud, plutôt que de se doter d’une situation scientifique avisée qui lui aurait permis de répondre en toute responsabilité éthique et politique, s’est mis en situation de favoriser la probabilité de la survenance de dommages auprès de la population générale, s’est mis en situation de maintenir des dommages envers certaines personnes déjà atteintes, voire de contribuer à leur hausse.
Alors que près de la moitié de la population estime que davantage de mesures de promotion en matière de santé sont nécessaires. Alors qu’il est établi que des endroits où l’exposition est non significative ou faiblement significative pourraient être créés. Alors même que la littérature rapporte de façon constante que soustraire le patient à l’exposition suffit pour obtenir une normalisation complète avec restitutio in integrum de toutes ses fonctions.
Ce qui m'amène à conclure que le gouvernement du canton de Vaud, par Madame la Présidente du Conseil d’État Christelle Luisier Brodard et par Monsieur le Chancelier du Conseil d’État Michel Staffoni qui ont validé le contenu de la séance du 27 novembre 2024 à Lausanne, a pris sur lui d’accepter que des personnes se trouvent discriminées par des dispositifs artificiels volontairement disséminés pour exciter des fréquences électromagnétiques dans l’environnement aux fins de transports de données numériques. Alors même qu’il est reconnu qu’il devient difficile de se soustraire à de tels rayonnements.
Ce faisant et à mon avis, en dépit d’une situation discriminante, le Conseil d’État du canton de Vaud se dérobe à ses obligations, se met de façon claire en situation instable avec certains articles de loi, dont ceux soucieux de protéger la personnalité.
À suivre.
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Références:
  1. WHO Welcomes Electric Utility Industry To Key EMF Meeting, Bars the Press, Microwave News, Sept. 22, 2005.
  2. Microwave News, 1er octobre 2005.
  3. WHO (World Health Organization). Electromagnetic Fields and Public Health, Electromagnetic Hypersensitivity; WHO Fact Sheet No. 296, Geneva, Switzerland, 2005.
  4. Biologic effects and health hazards of microwave radiation, Proceedings of an International Symposium, Warsaw, 15-18 Oct., 1973; WHO (OMS), The US Department of Health, Education and Welfare, and The Scientific Council to the Minister of Health and Social Welfare; Poland, Éditions médicales polonaises, 1974, p. 261.
  5. Fréquences radioélectriques et hyperfréquences, 16e cahier de la série Critères d’hygiène de l’environnement, OMS, 1981, p.69-90.
  6. Huss A, Kuchenhoff J, Bircher A, Niederer M, Tremp J, et al. Elektromagnetische Felder und Gesundheitsbelastungen - Interdisziplinare Fallabklärungen im Rahmen eines umwelt-mediznischen Beratungsprojektes. Umweltmed Forsch Prax 2005 ; 10 (1) : 21-8.
  7. Belpomme, D., Carlo, G.L., Irigaray, P., Carpenter, D.O., Hardell, L., Kundi, M., Belyaev, I., Havas, M., Adlkofer, F., Heuser, G. et al. (2021). The Critical Importance of Molecular Biomarkers and Imaging in the Study of Electrohypersensitivity. A Scientific Consensus International Report. Int. J. Mol. Sci., 22, 7 321. p. 5.
  8. Jürg Baumann pour «Les cahiers de l’électricité», no 55, Office fédéral de l’environnement [OFEV], janvier 2004, p. 4.
  9. Art. 3 al. 5 ORNI.
  10. Ordonnance sur la protection contre le rayonnement non ionisant ORNI, Rapport explicatif, 23 décembre 1999, p.7.
  11. https://www.stralskyddsstiftelsen.se/wp-content/uploads/2020/01/swiss_roosli_-berenis_uvec_january-2020_hardelletal.pdf
  12. Röösli, M, Dongus, S, Jalilian, H, Eyers, J, Esu, E, Oringanje, CM, and al. The effects of radiofrequency electromagnetic fields exposure on tinnitus, migraine and non-specific symptoms in the general and working population: a systematic review and meta-analysis on human observational studies. Environ Int 2024 ; 183:108338. https://doi.org/10.1016/j.envint.2023.108338
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  25. García AM, Sisternas A, Hoyos SP. Occupational exposure to extremely low frequency electric and magnetic fields and Alzheimer disease: a meta-analysis. Int J Epidemiol. 37(2):329-40, 2008.
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  27. Comment allez-vous ? Comment la Suisse gère la maladie et la santé, L’étude sur la santé CSS 2024, par Sotomo.
  28. Critères d’hygiène de l’environnement 16, Fréquences radioélectriques et hyperfréquences, Organisation mondiale de la santé, Genève, 1981 p. 69.
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  30. https://www.galaxus.ch/fr/page/utilisation-des-donnees-de-grandes-differences-chez-galaxus-mobile-32850?utm_source=adv-mm-mai24&utm_medium=newsletter&utm_campaign=page-32850_channel-image
  31. Préampule de la CDPD https://www.un.org/disabilities/documents/convention/convoptprot-s.pdf
  32. García AM, Sisternas A, Hoyos SP. Occupational exposure to extremely low frequency electric and magnetic fields and Alzheimer disease: a meta-analysis. Int J Epidemiol. 37(2):329-40, 2008.
  33. Revue Ensemble n° 107, L’exclusion par la pollution électromagnétique, état des lieux (II), mai 2022, p.53.
  34. INRS. Champs électriques, champs magnétiques, ondes électromagnétiques, Guide à l’usage du médecin de travail et de prévention. Édition INRS ED. 785.1995.
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