qui suis-je - Pierre Dubochet

Aller au contenu

Ingénieur — conférencier — auteur — chargé de cours en Haute École de la santé

J'en suis venu à m'intéresser à ce sujet après avoir subi à mon insu et constaté les effets perturbateurs des rayonnements émis par des équipements sans fil de tiers. Quelques mois après avoir emménagé dans un immeuble locatif, je me sentais de plus en plus fatigué à la suite d'insomnies répétées, je manquais de dynamisme et de capacité de concentration.

© Pierre Dubochet, ing. radio
toxicologie des RNI
Ingénieur — Conférencier — Auteur
Chargé de cours en Haute École de la santé
Lecture : 2 min 30 | 790 mots
Enfant, Pierre est attiré par le son. En 1982, il s’oriente vers une profession spécialisée et devient ingénieur. Sollicité par le directeur d’une station de radio FM, il occupe cinq ans le poste de chef technique.
Pionnier de la diffusion automatique de musique (1992)
Avec un collègue, ils mettent en service en 1992 un des premiers systèmes numériques au monde destiné à la diffusion autonome de musique pour radio FM. L’équipement diffuse jusqu’à 61h40 de musique (stéréo 16 bits/44,1 kHz, capacité 35 Go), insère des indicatifs station («jingles») régulièrement entre les titres, sans intervention humaine. Dès sa mise en service, le système s’avère robuste et d’une remarquable fiabilité.
Pionnier de la «guerre du volume» en CD (1995)
Ensuite, Pierre Dubochet fonde une société qui introduit des services numériques révolutionnaires dans les années 1990. Dès 1995, il est l’un des pionniers de la «guerre du volume». Il fournit l’original pour le pressage de CD avec une sonie élevée (perception auditive du volume sonore) en réduisant le facteur de crête sans risque d’écrêtage. La pratique d’un volume élevé faisait sens en radio FM d’où il tirait son expérience. Dans un environnement un peu bruyant, l’auditeur d'une programme radio en voiture ou dans sa cuisine perçoit une meilleure qualité d’une station à la  musique plus forte, ce qui a une influence sur le taux d’écoute.
L’impression de volume sonore, la sonie, «unité de volume sonore par rapport à la pleine échelle» s’exprime en LUFS (Loudness Units Full Scale). Elle est toujours négative (précédée du signe «–»). Moins la valeur est négative, plus le niveau moyen est élevé. En 1995, les chansons sur disque compact sont gravées avec une sonie aux environs de -18 LUFS et jusqu’à -12 LUFS plus les plus forts. Actuellement, Spotify, Tidal, YouTube diffusent l’audio à environ -14 LUFS; iTunes vers -16 LUFS.
Dès 1995, Pierre livre une série de titres dont la sonie crève le plafond à -7 LUFS et même parfois au-dessus de -5 LUFS. Les rockers en raffolent. Quelque temps plus tard cependant, Pierre est embarrassé par ce désir de sonner le plus fort possible qui s’empare d’une partie de sa clientèle, car ceci détruit de façon irrémédiable une certaine expressivité de la musique. Il préférera établir sa norme de qualité et s’y tenir.
Pionnier du dossier de presse numérique pour l’horlogerie (1998)
À partir de 1998, il est le pionnier du dossier de presse numérique pour l’horlogerie, alors à la diapositive photographique. Durant l’année 2002, il participe à 100’000 dossiers de presse numériques; plus de 172’000 en 2007.
Début des symptômes (2010)
En 2010, Pierre constate qu’il a plus de difficultés à se concentrer et à maîtriser son état d’esprit selon les endroits.
Petit à petit, d’autres symptômes apparaissent. Pressions derrière les yeux, douleurs articulaires, sensations de vertige, acouphènes, maux de tête, variations de température, troubles de la vision, de la concentration, d'idéation, etc. Il a perdu presque toute mémoire à court terme: il  doit tout noter.
À cette période, son organisme est stressé au point qu’il lui est impossible de dormir plus de trois heures quotidiennes durant près d’une année. Vingt années de recherches sur l’esprit lui servent à différencier effet physiologique et effet psychologique. Ses recherches poussées lui apprennent qu’il est exposé à un niveau extrêmement significatif de rayonnements non ionisants qui traversent ses murs.
Après plus d’une année, il comprend le lien formel entre cette exposition et la sérieuse dégradation de sa qualité de vie. Pierre n’a pas été informé professionnellement des effets de l’exposition aux ondes; la question ne l’avait jamais effleuré.
Pierre a relié l’exposition à des champs électriques à basse fréquence, des champs magnétiques à basse fréquence, au Wi-Fi, au DECT, à la téléphonie mobile, au champ électrique statique à différents effets dans ses cellules.
Il a fait sa force de ces années de souffrance qui, avec des lectures constantes en biologie, médecine, toxicologie, neurosciences et autres (lecture de nombreuses études plus environ 9000 pages de livres par an) lui donnent un talent et une expérience uniques dans la création d’environnements sécuritaires qui accélèrent le rétablissement.
Il conserve ce savoir à  jour en entretenant des liens étroits avec les experts du monde entier.
Pierre —dont l'expertise est reconnue dans le milieu de la protection contre les rayonnements non ionisants— se déplace sur site pour protéger les personnes des effets de l’exposition aux rayonnements non ionisants dans l’environnement privé et professionnel et pour les inciter à se protéger de toute exposition inutile.
              Ces articles pourraient vous intéresser :
              Retourner au contenu