Le malade exposé à des rayonnements non ionisants chroniques est touché par un stress environnemental
La réduction de l’exposition aux rayonnements non ionisants constitue une priorité pour le malade souffrant d’un cancer, d’une maladie neurodégénérative, du système endocrinien, de sclérose en plaques, de sclérose latérale amyotrophique, de la maladie d’Alzheimer, de stress chronique, de diabète, d'une maladie cardiaque, de maux de tête, de la maladie de Parkinson, d’une maladie chronique.
© Pierre Dubochet, ing. radio
toxicologie des RNI
18 octobre 2017
mis à jour le 2 mai 2020
L'exposition peut avoir une incidence sur la santé
D'une façon générale, le malade qui estime être trop exposé à des RNI devrait faire mesurer son exposition électrodomestique.
Une fois connue précisément, cette exposition peut souvent être réduite significativement par des gestes simples, ce qui est particulièrement recommandé en convalescence.
Je me base sur les valeurs recommandées par l’Académie européenne de médecine environnementale, l’EUROPAEM. Elles ne sont ni juridiquement contraignantes ni des motifs pour justifier ou exonérer une responsabilité.
Le rapport dose en corrélation avec la notion de temps sont déterminants, associés à l’historique individuel de toutes les expositions à ces champs.
Le malade est exposé à divers rayonnements provenant de l'extérieur. Il est aussi exposé aux rayonnements de ses appareils électrodomestiques qui peuvent atteindre des valeurs extrêmement significatives. Le tout se cumule et peut avoir une incidence négative sur sa santé.
Il existe toutefois de grandes probabilités que l’exposition du malade à ses appareils puisse être considérablement réduite assez facilement. C’est mon activité: réduire l'exposition afin d’approcher les directives de l'EUROPAEM.
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